Concarneau - Ville Bleue

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Dossiers

Attractivité touristique, qualité esthétique du cadre de vie, le patrimoine architectural d’une commune constitue un atout manifeste que Concarneau entretient désormais avec l’aide de l’État grâce à une convention.

Arrêt sur image

Les plages : attention, fragiles !

Numérotation du quadrat (carré virtuel d'observation)

Sensible aux évolutions de l’environnement, Concarneau intègre celui-ci dans sa politique de développement par l’intermédiaire de l’agenda de la biodiversité (ABC, en cours d’élaboration, lire Sillage n° 97). Dans ce cadre, la Ville ne doit négliger aucun des biotopes* de son territoire.

Or, celui du littoral, et en particulier des plages, est aujourd’hui fortement fragilisé. Certaines préoccupations environnementales, comme la disparition des abeilles, sont fédératrices.
D’autres le sont moins, comme le sort des  «laisses de mer », ces amas d’algues déposés par les vagues sur les plages : les uns les jugent peu esthétiques, les autres y voient une composante de la plage bretonne et de sa préservation. Convaincue de ce dernier point mais soucieuse de ne pas nuire aux activités estivales, la Ville met en œuvre l’entretien différencié des plages en fonction de leur nature respective. Sauf échouages massifs et excès d’algues vertes, le ramassage mécanisé habituel de huit des plages concarnoises parmi les plus fréquentées fait désormais place à un entretien manuel sélectif de seulement une partie d’entre elles.

*Milieu de vie délimité géographiquement dans lequel les conditions écologiques (température, humidité, etc.) sont homogènes, bien définies, et suffisent à l'épanouissement des êtres vivants qui y résident avec lesquels ils forment un écosystème

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